Parul Sharma, artiste de New Delhi, redécouvre sa ville, sous un jour bien différent de l’habitude. Elle enregistre la pureté des structures urbaines alors vides : édifices, routes, espaces de vies deviennent un terrain de jeu pour l’œil qui compose avec l’inerte. Dépourvue d’humain, la capitale habituellement bondée est déserte et les axes de communications totalement dépourvus de mouvement. Que nous donne à voir New Delhi, capitale peuplée d’environ vingt millions de personnes, lorsqu’elle se trouve en confinement ?