Par les photographies surréalistes et érotiques de Marc Dubord la sidération est offerte par un ignoré du corps rendu visible : non seulement par la façon dont il parle le désir, mais également par la façon dont il est exposé voire – et plus directement – « sex-posé » avec indécence en divers défis. Le voyeur se retrouve prisonnier volontaire de toutes ses machines à fantasmer. Et ce, qu’elles fonctionnent ironiquement à vide ou plein pot. Et quels que soient les bords ou les débordements de la chair.