” Durant plusieurs années, j’ai photographié des natures-mortes ; la mise en scène et en lumière m’a toujours passionnée. Pendant le confinement, j’ai réfléchi à une autre nature du genre. Dans mon patio, quelques fleurs marquaient le début du printemps. Cruelle, je les ai confinées… Dans un récipient, je les ai agencées, couvertes d’eau et mises au congélateur.
Le résultat m’a plu… tout en ne perdant pas de vue tout ce qui bourgeonnait alentour et portait l’espoir “.
Laurence Charrie
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