Une vie est comme un château de cartes. Une simple bourrasque suffit à faire s’effondrer un édifice que l’on pensait solide et bâti dans le rock. Le vent distille parfois un poison qui emporte même l’espoir.
Le confinement est venu comme une punition supplémentaire.
Il reste l’art, le meilleur moyen de sublimer ses épreuves. Rachel Hardouin excelle dans celui du huis-clos de son ascenseur. Ses autoportraits expriment une souffrance que le Noir et Blanc magnifie. L’âme d’une artiste souffre mais ne rompt pas.
Prévisualisation de l’article
[calameo code=005143405723d7ca223ff mode=viewer page=92 width=100% height=600px hidelinks=1]
Afficher l’article en plein écran directement
depuis notre Magazine en ligne
[calameo code=005143405723d7ca223ff mode=mini page=92 clickto=embed width=480 height=300 hidelinks=1]