” Dans cette série, j’ai choisi de me photographier dans la coïncidence de mon esprit et de mon corps avec l’espace,
dans une danse contemporaine là où le monde bouge, passe, communique, travaille. Ce sont des autoportraits numériques réalisés à la défense à Paris.
Le silence est la communication avec soi-même, la voix royale vers sa conscience, la sensibilité à l’absolu qui l’entoure.
Dans le silence, Quand je marchais, j’ai senti pour la première fois mes pieds toucher le sol Quand le vent me frôlait, j’ai senti pour la première fois les textures de ma peau Et quand j’ai posé ma tête contre le mur, je me suis vue.
Le silence nous permet de donner à notre vie la patience d’une œuvre d’art. ”
Marlène Delcambre
Afficher l’article en plein écran directement
depuis notre Magazine en ligne
Contact : www.marlene-delcambre.com