Avec la crise du Covid-19, tout le monde s’est interrogé sur l’opportunité de modifier nos modes de consommation, cela pouvait être l’occasion d’une avancée significative vers une meilleure gestion des ressources de notre planète, mais étions-nous prêts à faire des concessions à nos petits conforts ?
Cette série Now Future, de par sa présentation en diptyque montre deux angles d’une même réalité mais, le plus souvent, elle fait surgir des correspondances, tisse des liens entre les choses et les humains, laisse à chacun la liberté d’écrire son propre récit.
Il s’agit en fait d’une invitation à poser un regard poétique sur notre quotidien, qui se révèle – somme toute – plein de promesses si on sait le regarder avec réalisme et si on s’implique vraiment pour le sauvetage de notre environnement…
Petite bio : André Nitschke est profondément photographe, initié très jeune à la photographie par son père qui fût un temps photoreporter de guerre aux cotés de Marc Flament. Ce n’est cependant qu’à partir de 2008 et après l’interruption brutale d’une longue carrière sportive comme athlète, marathonien et éducateur, qu’il débute réellement la photo et se perfectionne dans sa version numérique, tout en bénéficiant des conseils artistiques du photographe espagnol Andrès Lejona.
En 2011, il rencontre le ballet de l’Opéra-Théâtre de Metz-Métropole et va désormais orienter ses travaux sur des
projets thématiques associant photo et danse.
Depuis 2013, il enchaine les expositions dans le Grand Est, au Luxembourg, en Italie, en Bretagne, ou encore dans les deux Sèvres avec notamment des présentations aux Biennales Internationales de l’Image de Nancy (2016), de danse contemporaine en Lorraine (2015 et 2017). Sa série « Résister » sur le devoir de mémoire a été présentée durant 6 mois en 2018 au Musée de la Cour d’Or de Metz-Métropôle et sa série Déva à été exposée au 19e Festival Européen de Nu d’Arles, à l’Espace Van Gogh.