Le 26 mars 2020, à 20h, la France entre en guerre… une guerre contre un ennemi nomade, invisible, inconnu, multiforme, venu d’une province lointaine, terrifiant la planète entière, laissant derrière lui des milliers de morts : le virus COVID-19.
Confinement, le ton est donné : le mot s’affiche sur toutes les lèvres, s’écrit et se décline de manière endémique sur les écrans, les radios, les journaux, etc.
La France s’arrête, privée de ses libertés ; respirer devient dangereux…
Seul, en couple, en famille, nous avons le devoir et l’obligation de rester chez nous. Il faut attendre que ce nouveau fléau s’évanouisse… À quand la délivrance d’une vie suspendue ?
Témoin et victime, je décide alors, dans le cadre de ma contribution à votre appel à projets, de figer à travers l’objectif, avec humour et dérision, symboles d’espoir et de renaissance, ma perception des stigmates du confinement.
Mettre en scène des situations du quotidien, souligner leurs impacts sur nos vies, fixer cette aliénation sociale généralisée sur fond de vide, permet de croiser les regards sur une vie confisquée, suscitant ainsi le questionnement du spectateur.
Alexandre Bramardi
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