Préface : Michel Touma
(Rédacteur en chef du quotidien L’Orient Le Jour)
4 août 2020 : Double explosion apocalyptique dans le port de Beyrouth
Le photographe Maxime Meignen s’est rendu à Beyrouth deux mois après les deux terribles explosions qui en quelques secondes ont défiguré la ville. Ses images poignantes, bien plus fortes que les mots, témoignent de la dévastation imprescriptible.
Dans son recueil de photographies en noir et blanc, Maxime Meignen révèle les stigmates déchirants de ces déflagrations atomiques au cœur des quartiers, des lieux emblématiques de la cité culturelle et intellectuelle du Liban.
Comme le dit si bien Gilles Khoury (écrivain et journaliste) « Tout ce qui était n’est plus et ne sera plus ». L’œil sensible du photographe traduit en images l’horreur quand les mots ne sont pas capables de raconter.
Prix : 40€ – Editions 37.2