« Les portraits de Miguel Parreño sont comme autant de coups de poing dans notre vision anesthésiée du monde »
Philippe Litzler
À partir de l’année 2004, j’ai réalisé une évolution dans mon travail photographique, organisant plusieurs voyages avec l’ambition d’élargir ma connaissance des diverses cultures qui peuplent notre planète, avant qu’elles ne soient englouties par la «civilisation». Le projet était né, car aimer, c’est comprendre la différence et respecter les cultures.
Ainsi, l’Afrique a été le premier continent où je me suis rendu, après quelques voyages à travers l’Europe. C’est pourquoi, arrivé au Mali, je fus tant impressionné par la lumière, la couleur et les énormes différences culturelles. Finalement, au travers de ces diversités, je me suis rendu compte que les besoins de l’être humain sont exactement les mêmes dans toutes les civilisations. (…)